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Proche de la ville d’Osaka au Japon, l’asile Matsumoto est le plus connus de la région en termes de soin psychiatrique. Bâtiment érigé en 1902 par un homme du nom de Shin Matsumoto, homme de science et généreux qui décida de créer un endroit pour aider les personnes atteintes de maladie psychologique à se rétablir et vivre une vie normale. Bien que ses intentions ne soient redevables, l’asylum à une triste histoire et un passé bien sombre qui lui vaut une réputation peu recommandable depuis la nuit des temps. Les traditions de l’établissement subsistent encore et toujours à ce jour, les méthodes n’ont pas changé malgré le fait qu’elles ne soient devenues obsolètes. Par le passé le sanatorium a été le théâtre de nombreuses horreurs et compte un nombre incalculable de morts entre ces murs. Certains emporter par la maladie, d’autres pour de mauvais traitement et une cause qui reste encore un mystère aujourd’hui tant la seule réponse est ésotérique … On raconte que les âmes sont resté enfermé ici en quête de vengeance rendant les lieux bien plus sombres qu’ils ne le sont déjà. Certaines pièces à faire froid dans le dos qui servaient à entreposer les cadavres existent encore aujourd’hui et des rumeurs disent qu’elles serviraient encore … En somme l’asile n’a pas une très bonne réputation mais reste un des seuls asiles du pays et des plus fréquenté. Un passé remplie de secret et de mystères non élucider qui persistes et qui continue de faire jouer cette pièce horrifique même à ce jour …
Le cauchemar continue, plonge dans les ténèbres de la folie ...
13/10/2007 Dernier directeur
01/10/1945 Abris de guerre
15/09/1927 Commencement de la malédiction
01/06/1902 Ouverture de l'asile
16/04/1887 Construction de l'asile
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Histoire de l'asylumLe passé de l’asile depuis sa construction ainsi que l’histoire de la famille Matsumoto depuis son créateur jusqu’à son dernier descendant actuellement directeur du sanatorium aujourd’hui. Les grandes périodes qui ont donnés lieu à la création d’un tel établissement, les raisons, les circonstances et les grands bouleversements qui ont fait la réputation du sanatorium des années en arrière jusqu’à aujourd’hui. Le bâtiment est bien plus vieux qu’il n’y paraît et on peut voir ces détails si on s’attarde sur les murs qui s’écaillent et le matériel qui n’a pas été renouveler depuis un certain temps étant donné le manque de fond de l’établissement. Tout cela expliqué dans les documents qui suivent.
L’histoire mais au présent cette fois, une trace écrite de toutes les grandes intrigues qui toucheront tout l’hôpital et ses résidents, patients ou médecins. Il n’est pas impossible qu’il se passe quelques désagrément avec les personnes qui s’y trouve ou encore les récurrents visiteurs invisibles qui hantent ses lieux. Le sanatorium à une histoire qui lui est propre et elle continue encore de s’écrire créant des failles et des évènements mémorables qui marqueront à jamais l’histoire de l’asile. Ils seront graver dans les mémoires et les écrits et plus tard seront toujours visibles par les générations futures …
Dossiers médicauxLes dossiers de chacune des personnes qui résident ici ou qui ne sont que de passage. Tout y est répertorié, leur passé, leur caractéristique physique et mental ainsi que leur identité. Personne ne va et viens dans cet endroit sans que leur identité ne soit soigneusement et méticuleusement présenté. Tous sont connus, personne n’est laissé à l’écart et surtout tous les petits secrets y sont également inscrits …
68 sujets et 134 messages Les fiches de suivies ont leur importance capitale, elles sont là pour donner une ligne à l’histoire, un fil conducteur à suivre et à ne pas perdre. Les chapitres de cette histoire auront une chronologie très nette et chaque personnage aura la sienne. Leurs relations y seront aussi noter pour ne pas perdre de vue qui s’entend ou pas avec qui. Ces liens auront peut-être une importance capitale pour l’histoire et tout ce qu’il faut savoir concernant le conte se trouve dans cette partie.
L'asylumLa pièce centrale de l’hôpital et pourtant celle qui se trouve le plus proche de l’entrée. Alors pourquoi dit-on qu’il s’agit de la pièce centrale ? Peut-être parce que derrière la porte qui mène à l’extérieur se trouve en fait d’autre pièces … Vous ne comprenez pas ? Soit c’est un labyrinthe soit tout ici est à l’envers et si vous n’avez toujours pas compris c’est peut-être qu’il vaudrait mieux faire une petite thérapie dans l’asylum …
Les salles communes regroupent les endroits où le passage est le plus fréquent. Même si elles sont avant tout utilisées par les patients en priorité, beaucoup de médecins, infirmiers ou même gardiens y passent pour surveiller que les internes ne fassent pas de choses déplaisantes. Ce sont également les pièces les plus animés en journée mais qui ne voit pas âmes qui vivent la nuit. Normalement puisque ces dernières sont fermés et toutes entrée est strictement interdite aux patients. Normalement …
Les appartements du directeur ont été construits en premier à la création de l’asile. A dire vrai ils étaient même là bien avant car il s’agissait de la maison familiale du créateur de l’hôpital. Le directeur y a vécus entre ses murs depuis sa plus tendre enfance. Si certaines pièces comme le bureau ou encore la salle de réunion autorise parfois le personnel à entrer, certaines pièces sont strictement interdite comme la chambre ou les lieux de vie du directeur. A moins que ce dernier n’ait autorisé une invitation exceptionnelle …
Les cabinets médicaux réunissent les bureaux des médecins, chercheurs ou psychologues diviser en trois parties. Il peut y avoir les salles de consultations, les cabinets d’examens rapide ou des espaces plutôt détentes avec des sièges longs pour que les patients soient plus à l’aise pour parler de ce qui les tortures. La partie des chercheurs regroupe plusieurs laboratoires afin de créer de nouveaux remèdes ou médicaments.
Le centre de thérapie est la partie la plus grande du sanatorium car elle regroupe un grand nombre d’immense salle dédié à la guérison des patients. Exercices de rééducations, thérapie par électrochoc ou par cure thermiques, tous les moyens sont bons pour aider au rétablissement des patients. Même si tout se passe dans la tête, certains soins se sont montrés particulièrement efficaces par le passé, et si on pense que certaine méthodes sont dépassés ou inhumaine, l’hôpital possède les droits pour les exécuter.
Bien qu’il ne soit pas connu de ceux qui ne fréquentent pas l’hôpital, l’asile possède bel et bien un sous-sol qui s’étend sur toute la superficie du terrain. De nombreuses galeries sous-terraines, des pièces plus ou moins secrètes, mais quoi qu’il arrive si quelqu’un se retrouve là c’est qu’il n’y ait pas pour de bonne raison … Ce qu’il s’y passe est souvent le théâtre d’horrible spectacle que ce soit pour les patients comme pour le personnel soignant. C’est l’endroit le plus lugubre de tout l’hôpital et même le directeur lui-même affirme ne jamais vouloir y mettre les pieds …
Puisqu’il y a beaucoup de personnes qui travaillent au sein de l’asile il leur fallait bien entendu un espace qui leur serait dédié afin d’améliorer leur condition de travail. Une salle a été emménagée en salon pour que durant les pauses ils puissent fumer en groupe ou boire le café en solitaire. Des espaces dédiés aux heures ou jours de repos. Les membres du corps médical ont leur propre espace pour se restaurer, se changer ou encore vivre avec leurs dortoirs et leur propre chambre puisque la plupart restent vivre ici 24/24h pour veiller à ce que leurs patients ne soient pas mis en danger.
L’étage supérieur est réservé aux chambres des patients. Pour quelle raison ? Pour leur éviter toute idée de fuite par les fenêtres, et si l’envie venait à certains de se défénestrer cela va être difficile étant donné les barreaux qui y sont installés. Avec la capacité d’espace de plus de deux-cent chambre chaque patient possède la sienne. Si une crise survient et qu’il y a un manque de place il arrive que les patients partagent leur chambre mais cela est beaucoup plus rare.
Alentours du sanatoriumLa cour extérieure est la première chose que l’on voit en entrant, elle se doit alors d’être présentable et garnie de verdure mais ce n’est pourtant pas le cas. Il y a très peu de verdure et le peu de plante ne comporte aucune couleur si ce n’est du rouge ou du jaune de temps en temps. Des chemins de graviers sont tracé et mènent aux différents points à l’extérieur et l’allée principale va jusqu’à l’entrée de l’établissement. Le tout entouré de hauts murs bétonnés surplombé de fils barbelé pour éviter toute idée d’évasion. Plusieurs tours de garde sont aussi postés à chaque coin des murs et occupé à garder un œil sur les lieux jour et nuit.
La forêt borde les alentours des grillages et est visible à certains endroits depuis la cour arrière. Les patients ne se sont jamais aventuré par-delà les barrières sauf pour des balades encadrés et bien surveillé et s’ils ont été plus que raisonnable avec une autorisation signée de la part du directeur. C’est un lieu ou certain habitué dans le personnel s’y promène pour décompressé mais qui est également le théâtre d’un passé enrichie en histoire.
Les postes de surveillances sont nombreux aux alentours, les militaires gardent ces lieux. En haut de ces grandes tour toujours occupées se trouvent un certain nombre d’homme surentrainer qui surveille les moindres mouvements des patients en extérieur avec leur jumelle et qui détectent le moindre mouvement dans la nuit grâce à leur grand projecteur. Les grilles sont gardées par plusieurs hommes armée qui ne laisse entrée que ceux qui ont un badge en leur possession. Il faut faire attention à qui entre et qui sort de cet endroit qui pourrait presque s’apparenter à une prison …
Il y a bien entendu des zones qui ont été aménagé pour que les patients puissent accomplir soit des travaux d’intérêts généraux soit simplement s’adonner à des activités en plein air. Ils ne sont pas en prison il faut le rappeler, ils suivent simplement une thérapie pour des soins mentaux. Du jardinage, de la peinture ou encore un terrain de sport est mis à leur disposition pour qu’ils puissent se dépenser à leur manière et être le moins agité possible une fois à l’intérieur.
Le reste du JaponIl s’agit de la ville la plus proche de l’asile à seulement une quarantaine de minutes en train. Ōsaka est la troisième plus grande municipalité du Japon et le centre de la conurbation du Keihanshin, deuxième aire métropolitaine du pays tant en nombre d'habitants que de PIB. La ville est également le chef-lieu de la préfecture du même nom. Elle est située sur l'île de Honshū, l'île principale du Japon sur laquelle se trouve également Tokyo, au bord de l'océan Pacifique, plus précisément dans la baie d'Osaka.
Il s’agit de la capitale actuelle du Japon. Située au fond de la baie de Tokyo, la commune de Tokyo dispose d'un statut administratif particulier parmi les préfectures du Japon, la ville de Tokyo ayant été supprimée en tant qu'entité politique ou administrative en 1943. L'agglomération de Tokyo, qui s'étend bien au-delà des limites de la préfecture, s'étend sur une large frange de la baie de Tokyo ainsi que sur la région du Kantō. Elle constitue en outre un des pôles de la mégalopole japonaise, avec notamment Ōsaka et Nagoya.
Kyōto est une ville japonaise de la région du Kansai, au centre de Honshū. Elle fut de 794 à 1868 la capitale impériale du Japon, sous le nom de Heian-kyō « Capitale de la paix et de la tranquillité ». Elle est aujourd'hui, avec ses palais impériaux, ses milliers de sanctuaires shintos et de temples bouddhistes, le cœur culturel et religieux du pays. La ville est aussi la capitale de la préfecture de Kyoto ainsi que l'une des grandes villes de la zone métropolitaine Keihanshin. Sa population est de 1,47 million d'habitants.
Nagoya est la troisième ville du Japon par sa superficie et la quatrième par la population, derrière Tokyo, Yokohama et Osaka. Située sur la côte Pacifique, au bord de la baie d'Ise dans la région du Chūbu, au centre de Honshū, c'est la capitale de la préfecture d'Aichi. Le pachinko, né à Nagoya, y a son musée. L'agglomération de Nagoya, qui compte environ neuf millions d'habitants, est la troisième du pays.
Puisqu’il existe aussi un ailleurs et que le monde ne s’arrête pas aux frontières il y a tant d’autres lieux à visité par-delà les limites du pays. Le reste du monde est ouvert pour tous et même les patients qui rêvent d’évasion ont pu s’y rendre par le passé ou même se permettre un voyage encadré sous autorisation du directeur. Tout ce qui ne se passe pas dans l’asile peut s’écrire ici.
Au delà du réelTous les contes au passé, les récits d’antan sont regroupés ici, comme figé dans le temps. Chacun a eus une histoire différente, un vécu qui lui est propre bien avant et loin de l’asile. Tout ce qui se trouve hors période du sanatorium est regroupé ici. Bien avant que le personnage ne mette les pieds dans l’histoire, ce qui peut justifier les éléments présents ou des scènes importantes du passé.
Les mondes alternatifs sont des lieux à part, là où l’imagination n’a aucune limite et où chaque nom, identité, histoire ne compte plus. Il n’y a aucun lien avec l’histoire de l’asile, cela pourrait se référer à des vies antérieures, d’autres histoires plus fantastique, de simples fictions qui n’existe que dans les romans et qui n’a pas sa place au Sanatorium. Chaque personnage est différent, il se peut que seul l’image soit garder mais leur identité et leur relations n’ont aucun lien avec le forum. Un univers inventé pour laisser parler sa plume au gré de ses envies.
ArchivesLes archives de l'asile renferme des milliards de documents qui pourrissent depuis des années et que personne n'a touché depuis. Pourtant certains dossiers pourraient renfermer de nombreux secrets qui pourrait être la clé ouvrant les portes du paradis... A moins qu'il ne s'agisse de l'enfer ?
Dernier inscrit L'utilisateur enregistré le plus récent est Delphine SaillyMembres Nous avons 37 membres enregistrésMessages Nos membres ont posté un total de 227 messagesIl y a en tout 1 utilisateur en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 1 Invité
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Démentia Démentia, un nom que l’on donne aux membres du personnel soignant. Il s’agit là de toutes les personnes qui travaillent en ces lieux et pour qui la vie ne doit pas être simple. S’occuper à longueur de journée des patients, très peu de repos et toujours sur le qui-vive. Ces hommes et ses femmes sont des médecins, des aides-soignants, des infirmiers, des psychologues, des gardiens ou encore des personnes qu’on ne voit quasiment jamais à savoir les cuisiniers qui ont leur importance ou le personnel chargé du ménage. Une mécanique bien huilée qui fonctionne plutôt bien et toujours plus de monde qui viennent grossir les rangs pour lutter contre la maladie mentale. Mania Mania, l’autre partie qui peuple cet asile à savoir les patients sans qui ce lieu n’aurait jamais vu le jour. Même si c’est triste à dire c’est eux qui font vivre l’asylum et qui rapporte de l’argent à son propriétaire. Tous ne sont pas là par choix mais par obligation par leur famille ou les forces de l’ordre en quête de guérison pour la plupart, d’évasion pour d’autres. Les cas sont varié et leur degré de dangerosité aussi, les maladies ne sont jamais les mêmes et il y a tellement de cas différent qu’il est difficile de tous les traités. Chacun possède son identité mais ils sont souvent reconnus par des numéros qui leur sont propre. Autant dire que si vivre ici pour certains est un cauchemar, pour d’autres s’ils ne sont pas fou ils le deviennent … Voyageurs Les voyageurs sont tout simplement les proches du personnel ou ceux des patients, si tenté qu’ils en ais encore pour la plupart … Ils ne sont que de passage en ces lieux et ne reste jamais une journée entière. Si certains reviennent souvent pour rendre visite à un membre de leur entourage d’autres se font plus rares et plus discret. La famille du directeur par exemple. Ces personnes sont identifiées à l’entrée et doivent connaître quelqu’un à l’asile pour pouvoir passer les grilles. Ces voyageurs, âmes égarées qui n’ont rien à voir avec ce cauchemar et dont la plupart s’en contente parfaitement. Fantômes Les fantômes du passés, ils hantent ces lieux depuis des années. Ils sont ce qui a vécus, ce qui arpente les couloirs dans la nuit et ce qui a jamais restera coincé sur cette terre. Des murmures, des échos, des cris dans le noir, ils font référence aux souffrances du passé, aux tourments du présent et à la damnation dans l’avenir. Entité invisible mais bien présente et qui observe les moindres faits et gestes des résidents de l’asile bien vivant, du moins pour l’instant … Peut être attendent-ils qu’ils les rejoignent ? Groupe V Contenu groupe 5. Groupe VI Contenu groupe 6. Groupe VII Contenu groupe 7. |
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