Once upon a time
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Construction de l'asile

Le projet de construction de l’asile fut entreprit par deux hommes en 1887. Des travaux colossaux qui demandaient une certaine fortune que possédaient les deux propriétaires de l’établissement. Un célèbre médecin américain du nom de Silas Weir Mitchell neurologue de renom et Shin Matsumoto psychiatre et spécialiser dans la médecine du cerveau humain. Une entreprise de toute une vie qui connus pas mal d’évènements inattendus notamment le lieu de construction de l’édifice.  L’emplacement a été choisi par Shin qui donna ainsi son nom à l’asile par la suite, il décida qu’ainsi l’asylum serait une affaire de famille que ses enfants et petits-enfants hériterait. Les travaux avaient déjà bien avancée quand le Japonais fit la découverte qu’il avait construit ses bases dans un ancien cimetière chrétien et que plusieurs drames c’était déroulé par le passé, il y a de cela des siècles. Suite à cela une maison de famille a été construit que l’homme avait racheté pour y construire dans la continuité son asile. Des détails qui n’avaient aucune importance aux yeux de Shin mais qui pourtant aurait dû lui mettre la puce à l’oreille …

Durant deux ans les travaux durent s’arrêter suite à des morts accidentelles d’ouvrier de plus en plus nombreuses sur le chantier empêchant la construction de se poursuivre. Suite à ces nombreux accidents les employés cessèrent de travailler sur le chantier pendant une longue période jusqu’à ce que le propriétaire ne fasse appel à plus de main d’œuvre usant de sa fortune pour cela. C’est pour cette raison que les travaux mirent bien plus longtemps à se finir et durèrent en tout quatorze longues années. Un an avant l’ouverture Shin revint sur son projet en faisant de ce lieu un endroit chrétien malgré que le Bouddhisme soit la religion dominante du pays. Il fit ainsi appel à des sœurs venues de tout le pays et même des quatre coins du monde pour travailler comme nurse au sein de son établissement. La dernière année avant l’ouverture il construisit ainsi une église non loin de l’hôpital qui ferait partie à part entière de la structure. Ce n’est donc qu’en 1902 que l’asylum Matsumoto ouvrit ses portes à ses premiers patients.

Ouverture de l'asylum

1er juin 1902, jour marquant pour l’heureux propriétaire de l’hôpital qui accueillit ses 50 premiers patients au sein de son établissement. Pendant des années tout se passa à merveille et beaucoup de patients avaient le plaisir de ressortir du centre guérie et en parfaite santé. Une roue bien huilait qui tournait sans doute trop bien car peu à peu les inscriptions furent beaucoup moins nombreuses. Tellement que cela n’était pas suffisant pour compenser les fonds de l’asile. Le propriétaire achetait beaucoup de matériel onéreux selon les besoins de ses patients et pourtant ne recula devant rien. Si au départ les évènements paranormaux se faisaient plutôt discrets et que de temps à autres les patients criaient « Au démon ! » personne n’y prêtait grande attention. Mais cela changea rapidement lorsque le directeur engagea une sœur venue tout droit des Etats Unis qui souhaitait fuir son pays pour des raisons peu claires et sur lesquelles la femme restera à jamais silencieuse. Une femme au cœur pure dont le seul vœu était d’aider des gens et sauver des vies.

Shin voyait en elle le futur espoir et un ange pareil ne pouvait que nourrir de bonnes intentions tout comme lui. C’est ainsi que cette femme intégra l’asile et commença à travailler comme infirmière. Mais bien vite elle se montra très étrange avec les patients, les autres médecins et même vis-à-vis de Shin qui ne pouvait pas croire les rumeurs qui circulait. Des disparitions de médecins avaient été déclarés et beaucoup la pointait du doigt en l’accusant. Mais Shin les contredit en disant qu’un ange pareil ne pouvait être à l’origine de tout ce qu’il se passait … Cependant la femme se montrait bien entreprenante même à son égard ce qui le surprit venant d’une religieuse. Sa relation avec elle devint beaucoup plus froide mais il continuait tout de même de placer ses espoirs en elle. La catastrophe arriva quelques années plus tard lorsqu’on la retrouva dans la cours étalé au sol baignant dans une mare de sang. Un suicide du haut de sa fenêtre selon la police mais beaucoup étaient persuadé que la théorie qu’elle ait été possédée par le démon était plausible …

Début de la malédiction

L’heure de passer le flambeau était venu pour Shin qui légua sa place de directeur à son fils aîné, Hitomi Matsumoto. 15 septembre 1927, trois année que le fils du fondateur siège en tant que patron de l’asylum, trois ans que les choses ont changés, les habitudes, les critères de sélection du personnel, l’organisation mais pas seulement … Voilà quelques temps que les choses se dégradent, et il n’est pas question que du matériel qui se fait vieux ou de la fortune qui viens à manquer, il est aussi question des activités paranormales et des évènements étranges qui se multiplient de plus en plus. Depuis le suicide de la none dans les années passées plus aucun évènements étranges n’était venu troubler la tranquillité des lieux mais il a suffi que le nouveau directeur n’invoque des forces qui le dépassent pour que les choses dérapent … En effet de plus en plus de patients ont un comportement étrange, bien plus qu’à l’accoutumer et cela dépasse de loin leur maladie … Certains s’agitent en même temps à des heures précises, d’autres parlent dans des langues qu’ils semblaient ne jamais avoir entendu alors qu’un petit nombre reste des jours sans manger, restant immobile sur leur lit à fixer la porte … Beaucoup de situations mettant mal à l’aise et faisant froid dans le dos … De simples coïncidence, rien d’alarmant et pourtant Hitomi savait de quoi il s’agissait, il savait que c’est lui qui avait déclencher tout cela …

Les années ont passés et la situation a empiré, l’hôpital comptait de plus en plus de mort au fil des moins, un petit nombre succombait à la maladie ou un traitement trop intensif mais la plus grande majorité disparaissait sans laisser de trace ou si on retrouvait leur cadavre c’était dans des conditions horrifiques … Certains contorsionné dans une position impossible à réaliser pour un simple humain les yeux grands ouverts, d’autre au milieu d’objets étranges et le pire fut la découverte de l’un d’eux au centre d’un pentacle ou un autre crucifier dans la chapelle de l’asile … D’étranges phénomènes qui provoquèrent la panique générale au sein de l’équipe médical. Mais rien ne devait se savoir, tous étaient tenu au secret professionnel, rien ne devait franchir l’enceinte de ces murs, la réputation de l’hôpital était en jeu … La question est comment tout cela à commencer ? Hitomi n’était pas un homme net et beaucoup ont pu le constater, les rumeurs courraient à son sujet mais l’idée qu’une présence malfaisante arpentait ces murs ne rassuraient personne …

Les cadavres étaient tellement nombreux et la lourde vérité difficile à cacher que le nouveau directeur décida de palier à ce problème en faisant creuser des galeries sous-terraine à l’abri des regards et dans la discrétion la plus totale. C’est ainsi que les sous terrains furent créé et que le crématorium servit pour la première fois. Il fallait un endroit où entasser les cadavres, les bruler et les amener dans la forêt par la suite. Il inventa ce système de raille ensuite et les différentes pièces qui était dédier à son culte secret. Ainsi cet endroit renferme de sombres secrets du passé et aujourd’hui encore passer ne serait-ce qu’une heure en bas fait froid dans le dos et deviens étouffant. Peu à peu la malédiction de l’asylum a commencé à s’ancrer entre ses murs, son épicentre se trouvant bien entendu au sous-sol, bien plus proche des enfers …

Un abris de guerre

Après des mois de craintes la nouvelle passe, la deuxième guerre mondiale éclate … Le pays subit les assauts de ses ennemis Américains et le peuple est en proie à la mort et à l’odeur de la poudre laisser par les armes à feu et les bombes. Les soldats arpentent les rues du Japon, plus aucun endroit n’est désormais sûr et tous les habitants sont invité à rester prudent en cette période de trouble … 1er octobre 1945, l’asile tiens encore et toujours debout aucunement toucher par les massacres de la guerre, seul édifice n’ayant jamais subit la destruction des bombes ou la contamination de la radioactivité … Comme protégé par une force invisible grâce à laquelle il s’agit encore aujourd’hui du plus vieux bâtiment encore entier. Cela ne mit pas longtemps pour se faire savoir et rapidement l’asylum ouvrit une deuxième partie qui servait de sanatorium pour les militaires grièvement blessé par. Un abri de guerre qui offrait soins et repos aux soldats souffrants de graves blessures par bombes ou balle. Si au départ le directeur était un peu réticent à l’idée de faire entrer des patients qui n’avaient aucun problème mentale, il se résigna face à la majorité du personnel qui était pour cette idée.

Ainsi l’hôpital devint plus animé, les médecins et infirmières voyaient d’autres personnes, avec des problèmes physiques et non mentaux, les soldats qui arpentaient les couloirs semblait rassurer la plupart des employés et même certains patients qui se sentaient plus en sécurité. En ce temps de trouble et de malheur la joie était tout de même de mise l’asylum connu ainsi des jours ensoleillés. Pourtant les morts continuaient d’affluer et les militaires venus trouvé le repos ici n’étaient pas épargner pour autant. Les sous terrains étaient donc encore plus utiles qu’à l’époque pour évacuer tous ces cadavres dont la plupart transportait peut-être des maladies transmissibles et mortelles. Le bonheur ne dura que peu de temps avant que la crainte ne s’installe de nouveau … Beaucoup de militaire qui sont ressortis de ces murs complètements guérit ont pu témoigner que quelque chose clochait réellement dans cet endroit … Des murmures dans la nuit, des cris qui ne venaient pas de la partie psychiatrique, des pas dans les couloirs alors que ces derniers étaient complètement vide et même parfois l’apparition d’une dame blanche … Une femme d’une extrême beauté mais au visage tellement glacial que rien que de la regarder dans les yeux donnait des frissons.

Beaucoup ont même dis avoir eus des flashs, des gens pendus dans les couloirs et toujours cette femme qui se défénestrait … S’il n’y en avait eus qu’un ou deux qui avait été témoin de ce genre de chose cela n’aurait pas pris autant d’ampleur … Mais toutes les personnes qui en sont ressortie ont témoigner de la même chose, chacun avait vu les mêmes scènes et phénomènes se produire … C’est ainsi que l’hôpital fit parler de lui au grand désarroi de son directeur actuelle qui avait pourtant prit la décision de refuser de nouvelles entrées pour des problèmes autre que mentaux … Après cela et pendant des années l’asylum eut une sombre réputation et fut étiqueté par la population comme l’un des lieux les plus hantés du pays …

A ce jour ...

Nous sommes désormais en 2019, Donald Trump est l’actuel président de l’Amérique et une troisième guerre mondiale menace d’éclater. Le Japon est à la pointe de la technologie et bien avancé par rapport au reste du monde. Pourtant ce n’est pas partout que l’on peut trouver du high-tech, en effet l’asylum qui tient encore debout aujourd’hui se fait de plus en plus vieux et les fonds ne sont pas assez élevés pour restaurer les lieux. Ruki Matsumoto, présentement directeur de l’asylum mène son affaire avec une poigne de fer pour maintenir la tête hors de l’eau et cela semble plutôt bien fonctionner. Le monument est devenu célèbre et a été classé comme patrimoine historique du Japon. Ayant survécus miraculeusement aux guerres et au catastrophes naturelles, il est l’un des monuments le plus ancien du pays encore en fonction. Les patients continuent d’affluer, les CV entrent toujours autant et de nouvelles personnes encore et encore foule le sol au sombre passé de l’hôpital. Bien qu’il ait eus une sombre réputation aujourd’hui les choses se sont stabilisées au niveau des rumeurs devenant plutôt de vieilles légendes plutôt qu’une réelle histoire.

Si les tumultes se sont calmés, ce n’est pas vraiment le cas des phénomènes se déroulant entre ces murs. A la grande surprise des nouvelles recrus ou des nouveaux entrants le matériel d’électrochoc ou encore le crématorium sont encore en fonction … Des méthodes dépassés cela va de soi mais encore et toujours utilisés … Les temps changent, l’organisation ou la façon de fonctionné également en fonction du directeur, mais les soins prodigués aux patients sont restés les même. Sans parler des activités qui s’y déroulent encore et toujours, rejouant des scènes du passé que les militaires avaient pu voir, encore et toujours des disparitions et plus troublant encore l’apparition de cette dame blanche qui semble avoir élu domicile entre ces murs … Si c’est toujours la même malédiction qui s’abat sur l’asylum une nouvelle activité paranormal viens troubler les lieux, certains patients se plaignent d’être souvent visités par des entités différentes, possédés pour la plupart … Mais étant donné leur état mentale instable toutes ces récoltes d’informations sont vite mise à la poubelles et les réclamations bouclées avant d’être oubliés …

Mais peu à peu même le personnelle commence à se plaindre d’une présence pesante et des manifestations bruyantes qui n’ont désormais pas uniquement lieu la nuit mais tout au long de la journée également. Le directeur connait le passé de cet endroit ainsi que celui de sa famille, il s’agit de secrets transmit de générations en générations sous la forme de journal qui relate toutes les grandes étapes de l’histoire de la famille Matsumoto. Un livre qui devient rapidement la bible des directeurs de l’établissement. Ruki reste silencieux sur le sujet, même auprès de sa femme et surtout de ses enfants. Seul le prochain propriétaire de l’établissement aura le droit de connaître ses secrets une fois la place de directeur acquise. C’est ainsi qu’à ce jours les évènements étranges et troublants continue d’animés le quotidien des résidents de l’établissement et ne cesse d’effrayer toujours un peu plus les personnes qui auraient le malheur de vivre ces expériences malfaisantes …